Loic Buet (Promotion Platini / Forget)
Loïc Buet
Lex Sportiva : Peux tu te présenter, ainsi que ton parcours universitaire ?
Loic Buet : Originaire de Besançon, je suis passionné de sport depuis toujours ; j’ai, entre autres, pratiqué le football pendant une douzaine d’années. J’ai commencé mes études de droit là-bas, jusqu’en licence, avant de partir à Lyon pour un Master 1 en droit public, puis une année de préparation dans le cadre de l’IEJ. J’allais passer les examens d’entrée au CRFPA au moment où j’ai été admis au sein du M2 PJS.
LS : Pourquoi avoir choisi le PJS ?
LB : J’ai véritablement découvert le droit du sport en licence, notamment par les cours de droit communautaire et de droit du travail, et cette matière m’a très vite intéressé. Plus tard, lorsque j’ai appris l’ouverture du M2 PJS, j’ai candidaté dans le but d’allier mes deux passions pour le sport et le droit et d’en faire mon activité professionnelle.
LS : Quel est ton parcours professionnel depuis la sortie du master ? Quel poste occupes-tu désormais ?
LB : A la suite d’un stage, dans le cadre du M2 PJS, au sein du Conseil de prévention et de lutte contre le dopage, juste avant sa transformation en Agence française de lutte contre le dopage, j’avais gardé le contact avec un certain nombre de personnes et début 2008, on m’a proposé un poste de secrétaire au Département des contrôles pour un remplacement de congé maternité. J’ai sauté sur l’occasion et, ainsi, pu commencer à travailler. Depuis mars 2009, je suis juriste au sein de la Section juridique de l’AFLD.
LS : Dans cinq ans, où te vois-tu ?
LB : Etant passionné par mon activité actuelle, j’espère que je serai toujours à l’Agence.
Le football ne doit pas être la seule référence …
LS : Quelle image gardes-tu de ton année à Mâcon ?
LB : La venue de Michel Platini, parrain de la première promotion.
LS : Quels conseils donnerais-tu aux futures promotions ?
LB : Je leur dirais principalement de s’intéresser à l’ensemble des sports ; le football, bien que ce soit mon préféré, et les autres disciplines les plus médiatisées ne doivent pas être les seules références.