- Bonjour Anne-Sophie, quel est ton rôle dans l’association ?
Je fais partie du pôle communication, en charge de l’interview des anciens du Master. L’idée est de donner des nouvelles des adhérents diplômés afin qu’ils fassent état de leurs expériences professionnelles depuis leur année mâconnaise/dijonnaise. Je me suis également proposée comme référente, en tant que profil « fédération », pour la promotion en cours. Il s’agit de préparer au mieux les étudiants dans la rédaction de leurs futures candidatures aux offres d’emplois, ainsi que de les accompagner en amont des entretiens. Enfin, avec l’aide de Mohamed BACHIR, je prends le relais dans l’organisation du « Café juridique », évènement bien ancré dans la tradition de notre association.
2. Quel rapport tu as avec la Lex Sportiva ?
J’ai un rapport plutôt ancien avec l’association (je suis sortie du Master en 2011), mais j’ai appris à la connaitre de plus en plus par l’intermédiaire de son nouveau président, Olivier, qui en était secrétaire auparavant. Je constate que l’association s’est développée de manière intéressante au fil du temps, en créant des évènements qui attirent le monde étudiant et le monde professionnel du secteur (le succès du dernier « café » en est le parfait exemple). C’est d’ailleurs pour l’occasion de féliciter et de remercier tous les membres du bureau qui ont contribué à ce qu’est l’association aujourd’hui.
3. Pourquoi as-tu choisi de t’engager ?
Il y a déjà quelques temps que je réfléchissais à rejoindre la Lex. Et, à vrai dire, Olivier n’est pas étranger à ma décision, il m’a fait comprendre à plusieurs reprises que toute aide était la bienvenue (lol !). Bien évidemment, ce choix m’appartenait, et le fait d’être engagée en tant que bénévole dans une association sportive (je suis présidente d’un petit club de tennis) m’a convaincue, car je savais que je serai bien entourée au sein de l’association Lex Sportiva. J’ai également souhaité donner de mon temps car les Master en droit du sport deviennent de plus en plus concurrentiels, il est donc important de promouvoir le PJS en soutenant son réseau. C’est aussi un moyen de garder un contact plus fort avec les anciens, le Laboratoire de Droit du Sport et indirectement notre Master.
Merci Anne-Sophie !